Synposis : Où Schéhérazade raconte comment la désolation a envahi les hommes : « Ô Roi bienheureux, on raconte qu’une juge affligée pleurera au lieu de dire sa sentence quand viendra la nuit des trois clairs de lunes. Un assassin en fuite errera plus de quarante jours durant dans les terres intérieures et se télétransportera pour échapper aux gendarmes, rêvant de putes et de perdrix. En se souvenant d’un olivier millénaire, une vache blessée dira ce qu’elle aura à dire et qui est bien triste ! Les habitants d’un immeuble de banlieue sauveront des perroquets et pisseront dans les ascenseurs, entourés de morts et de fantômes, mais aussi d’un chien qui… ». Et le jour venant à paraître, Schéhérazade se tait. - « Quelles histoires ! C’est sûr qu’en continuant ainsi, ma fille va finir décapitée ! » – pense le Grand Vizir, père de Schéhérazade, dans son palais de Bagdad.
Acteurs : Crista Alfaiate, Joao Pedro Benard, Chico Chapas
Je n’ai pas eu l’occasion de visionner cette trilogie.
Je vous renvoie vers deux critiques en français :
- Celle de Gaëlle Bouché sur le site Abus de Ciné qui résume son analyse par "Un deuxième volet tout aussi hermétique que le premier" !
- - Celle de William Lurson sur le site Culturopoing, qui considère qu’il s’agit d’un "très beau volume, porté par « Les Maîtres de Dixie ».