➡ Vu au cinéma Acinapolis Jambes - Sortie du film le 22 novembre 2017
Signe(s) particulier(s) :
- tout comme le premier film, le budget de production est estimé à 69 millions de dollars ;
- tous les acteurs principaux ont rempilé pour cette suite, ainsi que le réalisateur, Sean Anders.
- Résumé : Dusty et Brad unissent leurs forces pour donner le meilleur Noël possible aux enfants. Mais un jour, leurs propres pères débarquent, soit un gros macho et un hyper-émotif. Les vacances se transforment dès lors en un véritable chaos.
La critique
Voilà deux ans qu’on a laissé Brad (Will Farell) et Dusty (Mark Wahlberg) depuis leurs chamailleries... Souvenez-vous, Dusty, l’ex-mari de l’épouse actuelle de Brad, faisait son grand retour dans la maison familiale, souhaitant r(e)jouer son rôle de père, alors que le Brad s’était extrêmement familiarisé avec les enfants de Dusty... D’une jalousie naissante, les deux hommes se livrèrent alors une guéguerre, pour savoir lequel des deux était le "meilleur papa"... Depuis réconciliés (vite dit), ils décident aujourd’hui, pour faire plaisir à leurs enfants respectifs, de partir en vacances entre familles (recomposées). Petit problème : le père de Dusty (Mel Gibson), ainsi que celui de Brad (John Lithgow), totalement opposés, s’invitent dans le voyage...
Après le succès du premier film, il n’est surprenant de retrouver ce duo (peu inspiré du braillard et du gros dur) dans leur nouvelle aventure, cette fois-ci à la montagne, mais avec leurs pères en plus.
Si on retrouve toujours le même esprit potache de situation que celui du premier film (celui de Noël en plus), cette suite encaisse les péripéties qui tiennent plus du ringard que de l’humour, et prêtent ainsi davantage à souffler, qu’à rigoler. On s’exclamera d’ailleurs de quelques blagues au caractère misogyne ou consanguin, ainsi que de la normalisation du port d’armes, qui plus est ici par des enfants, apprenant à tirer...
Et si les personnages de Will Farell et Mark Wahlberg semblent finalement ne pas avoir beaucoup évolués, c’est Mel Gibson qui tire son épingle du jeu, en grand-père macho, qui pisse plus loin que tout le monde.