Peplum, dans la foulée de 300. Ni suite ni préquelle car les événements sont quasi contemporains de 300.
Les mêmes effets visuels qui avec les effets graphiques, les ralentis, le sang (pas toujours vraiment rouge) atténuent paradoxalement la violence en lui donnant un caractère Bande Dessinée.
La 3D m’a semblé (de nouveau) inutile, fatigante et diminuant la luminosité du film.