Synopsis : Sibyl, ancienne romancière reconvertie en psychanalyste, vient au secours de Margot, une comédienne en détresse. La relation entre les deux femmes va raviver les souvenirs douloureux d’un passé enfoui pour Sibyl. Mais les dilemmes passionnels de Margot seront aussi pour Sibyl une source d’inspiration pour se remettre à écrire et finalement, se réconcilier avec son passé.

Acteurs : Virginie Efira, Adèle Exarchopoulos, Gaspar Uliel, Sandra Hüller, Laure Calamy, Niels Schneider, Paul Hamy, Arthur Harari

Brève de Cinécure !

Le synopsis augure un très bon film avec des acteurs et actrices que nous apprécions, à divers titres, tant Virginie Efira, Adèle Exarchopoulos, Sandra Hüller, Laure Calamy, du côté filles et Gaspar Uliel, Niels Schneider, Paul Hamy, Arthur Harari du côté garçons. L’on pensait voir un film du genre Victoria lui aussi de Justine Triet. A écouter confrères et consoeurs, notamment à Cannes, le film a séduit, beaucoup parfois. Si d’autres sont plus mitigés, à l’heure d’écrire cette critique à la fin de l’embargo ce vendredi à 14h, le film ne laisse plus guère de souvenirs mémorables si ce n’est au tout premier degré l’irritation face à cette psychanalyste si peu professionnelle qu’elle en vient à rompre la barrière infranchissable entre elle et ses patients, surtout une patiente, en lui volant sa vie en se la réappropriant pour en faire le sujet et le cœur de son nouveau roman. Peut-être est-ce dû au fait que Virginie Effira habite son personnage avec force et passion. C’est peut-être dû à la mémoire qui flanche dix-huit jours après avoir le film...

En attendant d’autres critiques dans les médias, lisez déjà celle-ci enthousiaste, d’Antoine Corte, sur le site de Bulles de culture, celle d’Adrien Corbeel sur Cinergie ou celle, publiée sur le Rayon Vert, avec un regard bien différent proposé par le collectif « Des Nouvelles du Front cinématographique ».