Synopsis : Lorsqu’un propriétaire de bar recueille un pitbull entre la vie et la mort, dans des poubelles, il n’imagine pas qu’il va s’attirer les foudres de son ancien maître.

Acteurs : Noomi Rapace, Tom Hardy, James Gandolfini, Matthias Schoenaerts, John Ortiz, James Frecheville, Elizabeth Rodriguez

Le film est une adaptation de la nouvelle Sauve qui peut de Dennis Lehane (Mystic River, Shutter Island, Gone Baby Gone également portés au cinéma).

Difficile d’en dire plus sans trahir toute l’intrigue de ce film où nous retrouvons le réalisateur Michaël R. Roskam et l’acteur Matthias Schoenaerts deux belges qui ont fait et font la gloire du cinéma flamand et du cinéma en général.

J’ai apprécié le scénario et le « couple » Tom Hardy et James Gandolfini, deux cousins qui sont gérants d’un bar qui sert de coffre de passage pour certaines transactions douteuses de la pègre. Mais que se passe-t-il quand le bar est cambriolé ? Que font les (autres) méchants dans ce cas ? Et qui est qui ? Qui fait quoi ? Il a bien entendu le « gentil » qui « adopte » à son corps défendant un jeune chiot (et que lui arrive-t-il ? Au chiot bien sûr mais également à Tom Hardy - qui semble avoir perdu du poids pour jouer le rôle de cet homme effacé ?).

Sachons, sans trop en dire, que tous ne sont pas ce qu’ils paraissent et que derrière les apparences... mais j’en dis déjà bien trop.

J’ai beaucoup aimé ce film mais sachez que je ne suis pas nécessairement représentatif de tous mes confrères journalistes.

Enfin, j’ai vu le film en salle, avec du « vrai » public (je n’étais pas libre pour la projection presse). Il apparaît donc dans cette chronique avec une semaine de retard par rapport à sa sortie.