Cette semaine, nous recevons deux jeunes réalisatrices qui terminent leurs études à l’IAD (L’Institut des Arts de Diffusion à Louvain-La-Neuve), Nikita Trocki et Sara Dufossé.

Dans le cadre de leurs études, elles ont coréalisé le court-métrage Axelle. Ensuite, elles se sont séparées pour monter le film indépendamment l’une de l’autre avec un monteur(se) différent. Le résultat a été proposé dans le cadre du BSFF, le 2 mai 2016 (avec deux autres films, dont Nelson qui a déjà été abordé dans nos émissions) (lien vers l’interview des réalisateurs Juliette Klinke et Thomas Xhignesse).

« A partir des mêmes rushes de tournage, deux étudiants en quatrième année de réalisation à l’Institut des Arts de Diffusion (IAD) vont devoir monter chacun leur court métrage, sous l’oeil attentif de Benoît Mariage et de Bernard de Dessus les Moustier. Un vrai challenge, que nous vous invitons à découvrir au cours d’une séance spéciale. Deux Nelson, deux Axelle et deux Elena verront le jour, a priori dotés d’un ADN commun, mais in fine bien différents. »

Synopsis : Fonceuse et solitaire, Axelle trouve en Clémence un pilier solide au quotidien. Quand Clémence lui annonce son départ, tout se bouscule dans la tête d’Axelle. Incapable d’exprimer son désarroi, elle contient son émotion jusqu’à l’explosion.

Les spectateurs ont rarement l’occasion de voir des films montés différemment. Dans le cas d’Axelle, les deux versions donnaient à l’écran des histoires bien différentes. Occasion de parler avec nos deux jeunes réalisatrices de l’importance du montage au cinéma.

Pour ceux qui n’ont pu écouter l’émission sur les antennes de RCF, voici le podcast de l’interview.