Synopsis : Au début des années 90, la musique électronique française est en pleine effervescence. Paul, un DJ, fait ses premiers pas dans le milieu de la nuit parisienne et créé avec son meilleur ami le duo « Cheers ». Ils trouveront leur public et joueront dans les plus grands clubs de la capitale. C’est le début pour eux d’une ascension euphorique, vertigineuse, dangereuse et éphémère. C’est aussi le parcours sentimental d’un jeune homme qui accumule les histoires d’amour et qui n’arrive pas à construire.

Acteurs : Félix de Givry, Pauline Etienne, Vincent Macaigne, Laura Smet, Roman Kolinka, Hugo Conzelmann, Zita Hanrot.

Il me sera difficile de commenter et encore moins de coter ce film qui n’a pas fait tilt chez moi. J’ai quitté la salle après 25 des 131 minutes du film de la réalisatrice Mia Hansen-Løve qui adapte dix ans de la vie de son frère, de 1990 à 2000. Selon Wikipedia, le film se décline en deux parties : Au début des années 1990, Paul est un adolescent passionné de garage qui s’intègre à la communauté house parisienne. La première partie du film, « paradise garage », raconte son ascension en tant que DJ et décrit les soirées house et la naissance de la French Touch. La deuxième partie, « lost in music », raconte ses difficultés financières, amoureuses et avec la drogue dans les années 2000 et 2010.
Un confrère journaliste m’a informé que la dernière partie du film était plus intéressante que la première...

Il est possible que, malgré une belle brochette de jeunes acteurs, ma méconnaissance de la house music et la house garage ne m’a pas aidé à entrer dans le film. Je n’écrirai donc pas, comme le fabuliste, que « les raisins sont trop verts » et laisse à chacun (probablement les jeunes ?) de se faire une idée.

A noter l’apparition des Daft Punk (mais joués dans le film par Vincent Lacoste et Arnaud Azoulay).

L’affiche du film :

La bande-annonce :