Synopsis : Un flic catholique irlandais et un prêtre renégat vont lutter contre des forces paranormales pour tenter de résoudre une affaire policière.

Thriller/épouvante sur fond de possession diabolique avec un (très/trop ?) fort message crypto-catholique.

(message sous-jacent : tu ne crois pas au diable, donc tu ne crois pas en Dieu.
Confesse-toi, cela te libérera et t’ouvrira les yeux...
Abandonne donc ton incroyance et sois croyant !!)

Admettons ! Qu’aurais-je à opposer à cela. Rien, sinon que le catholicisme présenté fait fameusement cliché et moralisateur, sans compter l’une ou l’autre erreur, impardonnable, si je puis utiliser le terme, s’agissant de confession, comme vous le lirez ci-après.

Dommage, car cela ne démarre pas trop mal, un peu à la mode « Seven » (ce qui fait que ma cote est juste en dessous de la moyenne), mais après, beaucoup de clichés, sans compter la musique des Doors à chaque moment « diabolique » de l’action !

Des rugissements d’animaux à l’écran... Bof !

C’est inspiré, disent-ils d’une « histoire vraie » !

Vrai ? OK ! Mais avec au moins une erreur théologique quand un prêtre parle de sa confession, il dit alors qu’il avait la crainte d’être défroqué. Non, pas cette fois-ci, mais à la deuxième, oui ! aurait répondu le confesseur !

Bullshit (sorry) : et je l’écris en « homme de métier » même si tout cinéphile sait depuis I Confess ce qu’est le secret de la confession !

Et enfin, à quoi cela rime, les forces du mal qui ne comprennent que le latin ? Peuvent pas se mettre à l’anglais à l’heure de la mondialisation ?!